mardi 4 novembre 2025

CAPITAL PUNISHMENT 1991 (CYCLE GARY DANIELS, IAN JACKLIN, DAVID CARRADINE & TADASHI YAMASHITA) BLOCKBUSTER

DonWilson82
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👉CAPITAL PUNISHMENT👈

Le projet K.I.C.K consistait Ă  administrer un mĂ©dicament au bĂ©tail afin d'accĂ©lĂ©rer sa croissance, mais la consommation de la viande issue de ces animaux avait des effets secondaires terribles. James est un expert en arts martiaux engagĂ© par la DEA pour retrouver un trafiquant, son ancien maĂźtre, qui tente de commercialiser ce mĂ©dicament aux États-Unis. Mais James est loin de se douter que les apparences sont trompeuses.

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1 commentaire:

  1. Le tout premier film avec Gary Daniels en vedette qui fut édité en France par un petit éditeur vidéo, Partners & partners, qui sortit également Kickfighter, avec Lorenzo Lamas, ainsi que le fort recommandable Fist Figther.

    Gary Daniels voulait percer dans le cinéma. Hyper doué en arts martiaux, super musclé, il était déterminé depuis son enfance, dans son Angleterre natale, mais il ne savait pas comment s'y prendre.
    Il se rendit donc aux Philippines oĂč il contracta avec des producteurs locaux...Mauvaise idĂ©e ! Bien qu'il resta sur place, et rencontra son Ă©pouse, ces producteurs ne surent quoi faire de lui, au juste, et un porno lui fut mĂȘme proposĂ© !
    Ses premiers films se nomment donc Final reprisal et The secret of king mahis island. L'un deux est dipsonible sur Youtube et on peut aisément s'aperçevoir que le talent martial, ainsi que le charisme, de Gary, étaient présents.

    Heureusement, la vague des films de kickboxing arriva, grùce à Bloodsport, et Cinéxcel parit sur lui dans deux opus : Capital punishment et Amercain streetfighter (jamais sorti en France).
    Nous allons donc nous concentrer sur ce Capital punishment, avec en soutien une star, autrefois, mondialement connue : David Carradine.

    Film étalon de la catégorie Z, Capital punishment peine tellement à rester cohérent que l'on a l'impression d'évoluer, en tant que spectateur, dans une dimension parallÚle à la cohérence douteuse.
    Qu'importe, le hĂ©ros doit participer Ă  un tournoi, pour enquĂȘter sur de la drogue spĂ©ciale, sur une organisation rĂ©gie par son ancien maĂźtre, qu'il affrontera tandis qu'un flic corrompu, orchestre le tout de loin.

    Bref, c'est atroce question scĂ©nario mais l'intĂ©rĂȘt repose entiĂšrement sur Gary Daniels qui propose une Ă©nergie martiale brute inĂ©dite, et qui fait encore recette de nos jours. Bref, un joyau dans un patchwork dĂ©sordonnĂ©.
    Si Ian Jacklin, qui travaillera pour la mĂȘme firme une fois Gary parti, demeure intĂ©ressant, de mĂȘme que Tadasi Yamamoto, on ressort quand mĂȘme avec un sacrĂ© mal au crĂąne pour s'ĂȘtre farci ce film difficilement comprĂ©hensible et, donc, terriblement Z !

    Il en reste quelques dizaines de secondes de grùce, quand Gary s'entraine pour le combat. Et cela vaut tous les effets spéciaux des blockbusters américains !

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