Olivier Grunner...on l'apprécie, évidemment, mais notre français, ex commando, ex champion de kickboxing, était agent de la sécurité à Cannes, vers 1988, et il eut la lumineuse idée de placarder sa photo en tenue de kickboxer sur un endroit. Un producteur scrutait sa photo, et il lui a dit :"C'est moi !". Ce fut quelqu'un d'Imperial films puisqu'il tourna le très rudimentaire Angel town, petit succès à son échelle. Très vite, Grunner comprit le piège de l'enfer de la série B et devint exigeant pour son second film, le foutraque mais généreux Némésis de feu notre roi Pyun, mais ce ne fut pas un authentique succès...
Petit à petit, Grunner, en pleine forme physique, par ailleurs, sombra dans cette série B, voire C, qu'il redoutait mais il comprit bien ses rouages en termes de production. Si bien que même si ses films furent de plus en plus indigents, il conserve un solide capital sympathie.
Olivier Grunner...on l'apprécie, évidemment, mais notre français, ex commando, ex champion de kickboxing, était agent de la sécurité à Cannes, vers 1988, et il eut la lumineuse idée de placarder sa photo en tenue de kickboxer sur un endroit.
RépondreSupprimerUn producteur scrutait sa photo, et il lui a dit :"C'est moi !".
Ce fut quelqu'un d'Imperial films puisqu'il tourna le très rudimentaire Angel town, petit succès à son échelle.
Très vite, Grunner comprit le piège de l'enfer de la série B et devint exigeant pour son second film, le foutraque mais généreux Némésis de feu notre roi Pyun, mais ce ne fut pas un authentique succès...
Petit à petit, Grunner, en pleine forme physique, par ailleurs, sombra dans cette série B, voire C, qu'il redoutait mais il comprit bien ses rouages en termes de production. Si bien que même si ses films furent de plus en plus indigents, il conserve un solide capital sympathie.
Un frenchie qui savate sévère !
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